Témoignage d'incivilité et violence urbaines
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- InvitéInvité
Re: Témoignage d'incivilité et violence urbaines
Lun 31 Mai 2010 - 22:09
en plus du rap ...
de la grosse merde pareil devrait pas existé :##22:
de la grosse merde pareil devrait pas existé :##22:
- puce d'eauMembre : Accro
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Re: Témoignage d'incivilité et violence urbaines
Lun 21 Juin 2010 - 17:39
hey physy, modère tes propos, c'est comme tout, y a de la merde, mais y a aussi des trucs biens !
et je ne suis pas d'accord avec la presonne (je sais plus qui c'est désolée ^^) qui dit que la plupart des jeunes se comportent "comme ça" de nos jours. c'est juste qu'on les remarque plus...
la seule fois où j'ai été témoin d'un problème dans le métro, les gens se sont précipités pour intervenir (c'était à Olympiades, sur la 14 à paris). mon frère et ses potes sont intervenus dans un début d'embrouille qui, du coup, n'a pas dégénéré.
enfin, +je souhaiterais intervenir sur le thème des jeux vidéo et films : connaissez vous le terme de Catharsis ? c'est un mot grec qui, à l'origine, s'appliquait aux pièces de théâtre, puis aux jeux du cirque, et qui désigne le fait de se purger de ses émotions. Pour moi les films et les jeux vidéos violents remplissent cet office. L'humanité organise depuis fort longtemps des épisodes de violence mis en scène (sacrifices, cirque, récits sanglants, même depuis les épopées...) ; c'est ce qu'on appelle aujourd hui du divertissement, mais c'est ce que je rapproche de la catharsis.
ce sont des activités à grand public, et si elles avaient vraiment une influence néfaste et qui pousse au crime, la proportion d'assassins serait bien plus élevée qu'elle n'est. Alors bien sûr il y a toujours des gens fragiles que les jeux et films inspirent, peut-être aussi par émulation collective (à plusieurs on se monte plus facilement la tête, c'est une hypothèse), mais s'ils n'avaient pas de jeux vidéos ou de films, je suis persuadées qu'autre chose viendrait les influencer et les pousser à la violence.
il est injuste d'accuser ainsi ces occupations et par conséquent, toutes les personnes qui s'y livrent ; cela peut avoir des conséquences aussi disproportionnées que regrettables. je prends en exemple le jeu de rôle : à ses débuts, pas à ma génération, il y avait des "tavernes", des bars à jeux de rôles, qui offraient une ambiance sympa pour jouer à Donjons et Dragons. mais quelques déséquilibrés ont commis des actes qui ont alerté les journalistes, et la communauté rôliste entière en a pâti. les bars à jeux de rôle ont fermé et le jeu de rôle commence tout juste à se sortir de sa réputation désastreuse (alors que c'est un excellent exercice, de plus en plus utilisé en management).
et je ne suis pas d'accord avec la presonne (je sais plus qui c'est désolée ^^) qui dit que la plupart des jeunes se comportent "comme ça" de nos jours. c'est juste qu'on les remarque plus...
la seule fois où j'ai été témoin d'un problème dans le métro, les gens se sont précipités pour intervenir (c'était à Olympiades, sur la 14 à paris). mon frère et ses potes sont intervenus dans un début d'embrouille qui, du coup, n'a pas dégénéré.
enfin, +je souhaiterais intervenir sur le thème des jeux vidéo et films : connaissez vous le terme de Catharsis ? c'est un mot grec qui, à l'origine, s'appliquait aux pièces de théâtre, puis aux jeux du cirque, et qui désigne le fait de se purger de ses émotions. Pour moi les films et les jeux vidéos violents remplissent cet office. L'humanité organise depuis fort longtemps des épisodes de violence mis en scène (sacrifices, cirque, récits sanglants, même depuis les épopées...) ; c'est ce qu'on appelle aujourd hui du divertissement, mais c'est ce que je rapproche de la catharsis.
ce sont des activités à grand public, et si elles avaient vraiment une influence néfaste et qui pousse au crime, la proportion d'assassins serait bien plus élevée qu'elle n'est. Alors bien sûr il y a toujours des gens fragiles que les jeux et films inspirent, peut-être aussi par émulation collective (à plusieurs on se monte plus facilement la tête, c'est une hypothèse), mais s'ils n'avaient pas de jeux vidéos ou de films, je suis persuadées qu'autre chose viendrait les influencer et les pousser à la violence.
il est injuste d'accuser ainsi ces occupations et par conséquent, toutes les personnes qui s'y livrent ; cela peut avoir des conséquences aussi disproportionnées que regrettables. je prends en exemple le jeu de rôle : à ses débuts, pas à ma génération, il y avait des "tavernes", des bars à jeux de rôles, qui offraient une ambiance sympa pour jouer à Donjons et Dragons. mais quelques déséquilibrés ont commis des actes qui ont alerté les journalistes, et la communauté rôliste entière en a pâti. les bars à jeux de rôle ont fermé et le jeu de rôle commence tout juste à se sortir de sa réputation désastreuse (alors que c'est un excellent exercice, de plus en plus utilisé en management).
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